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Assassinat de Jovenel Moïse: Brian Nichols salue le transfert des 4 inculpés vers les USA le 31 janvier, Claude Joseph entendu par le juge d’instruction et se dit favorable à ce que le dossier soit traité par un tribunal international.
Deux jours après que le transfert aux États-Unis des citoyens haïtiano-américains James Solages, Joseph Vincent, Christian Sanon et du citoyen colombien German Alejandro Riveira Garcia, le secrétaire adjoint aux affaires de l’hémisphère occidental Brian Nichols a réagit pour saluer cette initiative comme un pas de plus pour rendre justice au président assassiné.
« Une avancée importante pour rendre justice au peuple haïtien et tenir pour responsables les instigateurs de l’assassinat du président Jovenel Moïse. Nous continuons d’appuyer une enquête approfondie et indépendante sur ce crime odieux », a-t-il écrit sur son compte Twitter en faisant référence au transfert de ces détenus qui font face à des accusations criminelles dans le district sud de la Floride liées à leur implication présumée dans l’assassinat de M. Moïse.
Une plainte pénale les accuse d’avoir conspiré en vue de commettre un meurtre ou un enlèvement en dehors des États-Unis et d’avoir fourni un soutien matériel et des ressources entraînant la mort, et d’avoir conspiré en sachant ou en ayant l’intention que ce soutien et ces ressources seraient utilisés pour préparer ou exécuter la conspiration de meurtre ou d’enlèvement.
Claude Joseph entendu par le juge d’instruction
Le juge Walter Wesser Voltaire, en charge du dossier de l’assassinat de l’ancien président haïtien Jovenel Moïse, le 7 juillet 2021, a invité et entendu l’ancien premier ministre, Claude Joseph qui dirigeait le gouvernement au moment de ce crime. Au micro des journalistes, il a fait savoir qu’il s’est présenté devant le juge sans aucune contrainte puisqu’il veut collaborer avec la justice pour que ce crime soit résolu.
Sur la question des transfert des inculpés vers les Etats-Unis, M. Joseph rappelle qu’il était le premier a émettre le souhait qu’un tribunal international soit saisi de ce dossier car la justice haïtienne n’est pas en mesure de démêler le vrai du faux pour élucider ce crime. Tout de go, il rappelle par ailleurs que l’actuel premier ministre Ariel Henry avait bloqué sa demande de constitution de tribunal spécial faite auprès de l’ONU. Car, selon lui le crime a une dimension transnationale.
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